L'air que tu habites
L'étoffe fasèye qui ceint tes hanches.
J'ai volé des gestes qui te rendaient plus souveraine encore que ta couronne de beauté.
L'amour m'a requis. Je n'aurais pu reculer l'heure pressante de son appel sans me perdre, encourant alors les peines d'une joie clandestine.
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